Atari, filiale américaine d’Infogrames depuis quelques mois, a publié après la clôture de Wall Street des résultats trimestriels nettement en dessous des attentes des analystes.
Pour son premier trimestre fiscal 2006, Atari affiche un très lourd recul de son chiffre d’affaires, -77,6% à 24,2 millions de dollars. Le résultat net de l’éditeur suit, avec une perte de 32,8 millions de dollars, contre un bénéfice un an plus tôt. Atari souffre, comme beaucoup d’autres éditeurs de jeux vidéo, d’un déficit de nouveautés. Le lancement de nouveaux produits, avec l’espérance de glisser des titres qui rencontreront un grand succès, est vital pour maintenir le marché actif et enrichir ses acteurs. Les investissements pour développer un jeu vidéo sont aujourd’hui colossaux; ils se chiffrent en millions de dollars. Et Atari, comme ses concurrents, souffre d’un mal endémique, l’accumulation des retards, qui entraînent des déséquilibres commerciaux et de trésorerie. Atari a indiqué qu’il se retrouvait dans l’obligation de renégocier ses échéances bancaires pour l’exercice en cours, une démarche qu’Infogrames, sa maison mère, connaît bien ! La grande déception qui accompagne les chiffres de sa filiale ne peut que peser lourdement sur la cotation d’Infogrames à la Bourse de Paris.
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