Il faudra bien remettre en cause un jour le modèle économique actuel du marché de la musique. Malgré l’explosion de la musique en ligne légale, les ventes mondiales de disque ont encore reculé.
Selon l’IFPI, la Fédération internationale de l’industrie phonographique, les ventes ont reculé de 4% au premier semestre 2006 à 13,7 milliards de dollars en valeur.
Dans le même temps, les ventes en ligne ont explosé de 106% pour atteindre 945 millions de dollars, représentant 11% du marché mondial, contre 5,5% fin 2005.
Internet n’est donc pas bridé par le peer-to-peer qui est pourtant toujours désigné comme la cause essentielle du repli du marché. Si les ventes baissent, c’est aussi à cause de l’essouflement du système actuel.
Le support CD est en perte de vitesse, et l’IFPI commence à le reconnaître en concédant que ces mauvais chiffres sont dus au déclin continu des ventes sur des supports matériels tels que les CD. Ces dernières ont en effet chuté de 10% lors du premier semestre.
Les ventes dématérialisée finiront rapidement par compenser le recul des ventes physiques. Aux Etats-Unis, elles représentent déjà 18% du marché et 51% en Corée du Sud.
Pour stopper l’hémorragie des supports physiques, il s’agirait peut-être d’innover (le CD a plus de 20 ans), de valoriser un produit pour qu’il apporte un réel plus face au téléchargement, légal ou pas.
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