Si le secteur retrouve des couleurs, après les bons résultats de Juniper, Nokia ou encore Lucent, les équipementiers n’ont pas l’intention de céder à un optimisme naïf.
C’est le cas du britannique Marconi, qui plus que ses concurrents, s’est retrouvé dans une position financière très délicate en 2001-2002. Les ventes du groupe ont progressé de 5% au troisième trimestre 2003 à 745 millions de dollars. Mais l’entreprise entend jouer la carte de la prudence. Pour le quatrième trimestre de son exercice, il table sur des ventes stables ou en légère hausse séquentielle, à taux de change constants et en excluant la contribution d’une filiale nord-américaine récemment cédée (voir notre article). Afin d’échapper à la faillite, Marconi a mis en place un sévère plan de restrucuration qui s’est traduit par la suppression de 6.000 emplois.
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