Contrairement à Jean-Louis Vinciguerra, ex-directeur financier de France Télécom, Michel Bon ne se débinne pas. Face aux parlementaires réunis en commission d’enquête afin de connaître le pourquoi du comment du désastre financier de l’opérateur, l’ancien Pdg a refusé de désigner des coupables.
« La responsabilité, je la prends, je la garde », a expliqué l’ancien président. Même la contrainte de l’Etat actionnaire ne constitue pas, selon lui, une explication valable: « Cette contrainte existe, elle s’imposait à moi. Est-ce qu’un joueur s’insurge contre les règles du jeu? ». L’Etat savait. Mais des erreurs sont à assumer L’homme admet plusieurs erreurs: « Nous aurions dû faire plus d’acquisitions en actions ». Mais si l’ancien patron assume, il n’est pas prêt à porter le chapeau pour toutes les erreurs commises. Il a ainsi répété que les gouvernements successifs ont « évidemment approuvé la stratégie du groupe ». Selon Michel Bon, « L’Etat avait de très grands moyens pour savoir ce qui se passait ». Mais il n’a rien fait.
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