Organes gouvernementaux, services de santé, distributeurs de produits de première nécessité… Autant d’entités critiques qui auront un accès prioritaire au cloud de Microsoft.
Cet accès prioritaire portera plus précisément sur les capacités additionnelles que le groupe américain aurait à mettre en œuvre pour faire face à des pics de charge.
Microsoft reconnaît que les versions gratuites de ses services pourraient plus globalement subir des « ajustements » afin d’assurer la continuité de service pour les autres clients.
Des ajustements, il y en a par exemple eu sur Teams, mais pour tout le monde. Ils affectent des fonctionnalités jugées « non essentielles ». En l’occurrence, la résolution des flux vidéo, la fréquence de mise à jour des informations de présence et l’intervalle d’affichage de l’indicateur qui signale que quelqu’un est en train d’écrire.
Voilà deux semaines que la version gratuite de Teams ne limite plus le nombre d’utilisateurs connectés. Microsoft permet par ailleurs aux entreprises d’en faire bénéficier les collaborateurs pour lesquels elles n’ont pas pris de licence. Celles qui ne disposent pas d’un abonnement sont invitées à se tourner vers Office 365 E1 et ses 6 mois d’essai gratuit.
La messagerie collaborative est au cœur d’une vaste communication sur le télétravail , alimentée entre autres par une FAQ. Microsoft y recommande notamment de privilégier à la version web de Teams les clients de bureau. Raison principale : la gestion du cache, qui offre de meilleures performances dans le cadre des restrictions de bande passante.
Photo d’illustration © Microsoft
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.