Fermés depuis le mois de mars, les Microsoft Stores ne rouvriront pas. Leur fermeture définitive s’inscrit, affirme le groupe américain, dans une « nouvelle approche du retail ».
Le premier de ces magasins physiques avait vu le jour en 2009 dans l’Arizona. Ils se comptent aujourd’hui au nombre de 82. Tous en Amérique du Nord, à l’exception de ceux de Londres et de Sydney.
Sur le volet économique, Microsoft se contente d’expliquer que sa décision entraînera des charges d’environ 450 millions de dollars. Et préfère avancer sa capacité à servir les clients par les canaux numériques.
La stratégie se recentre effectivement sur ces derniers… mais pas que. Des réflexions sont en cours sur « de nouveaux espaces » au sein d’établissements Microsoft de Londres, New York, Sydney et Redmond. L’idée globale étant de localiser les ventes au même endroit que d’autres activités (support, formation, ingénierie…).
Ce qu’il adviendra des milliers d’employés concernés est moins clair. Tout au plus Microsoft assure-t-il de sa volonté de « développer les carrières de ces talents »…
Du côté des clients, on souligne de manière générale le rôle communautaire que remplissaient les Microsoft Stores. On met aussi en avant la souplesse de prestations comme l’échange direct en magasin, valable dans le cadre de certaines offres de garantie. Ou encore la possibilité de tester des produits haut de gamme – à l’image des Surface Hub – pas forcément disponibles chez d’autres revendeurs.
Photo d’illustration (magasin de Londres) © Microsoft
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