Motorola songe à creuser la piste du low-cost pour couvrir les appétits des consommateurs occidentaux pour les smartphones à bas coût et s’attaquer au marché des pays émergents. En point de mire, un terminal « à moins de 50 dollars » auquel le Pdg Dennis Woodside a brièvement fait allusion dans un entretien accordé à Trusted Reviews.
« Dans la plupart des pays, 179 dollars [prix conseillé du Moto G aux États-Unis, NDLR], c’est encore beaucoup d’argent, énonce-t-il. Pourquoi un smartphone ne pourrait-il pas, un jour, coûter 50 dollars ? Il n’y aucune raison pour que cela n’arrive pas. D’ailleurs, nous allons le faire. »
Une stratégie en phase avec les estimations d’ABI Research, qui estime que les smartphones à moins de 200 dollars ont représenté environ un quart du marché global en 2013, soit près de 250 millions d’unités. Sous l’impulsion des fabricants chinois, une offre pléthorique a fleuri sur ce segment, rapporte ITespresso.fr. Certains Français – Archos et Wiko en premier lieu – exploitent le gisement, parvenant à imposer leur offre, notamment sur le Web.
Motorola ne lâcherait pas pour autant le haut de gamme. Mais l’approche se portera, au-delà de l’innovation, sur la dimension de personnalisation des produits. Des ambitions déjà illustrées avec le Moto X (dont la disponibilité en France est annoncée d’ici le 31 janvier à 429 euros TTC nu) personnalisable « à la demande » (aux Etats-Unis pour l’heure) : coque, couleurs, gravures, logiciels… Au total, plus de 2 000 combinaisons possibles. Un concept qui devrait rapidement s’étendre à d’autres composants comme l’écran, voire le processeur, selon Dennis Woodside.
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