Le président de la fondation NetBSD (un clone libre d’Unix), Alistair Crooks, a annoncé que le projet NetBSD adopterait dorénavant une licence BSD comprenant deux clauses, contre quatre précédemment. En voici le détail :
Redistribution and use in source and binary forms, with or without modification, are permitted provided that the following conditions are met:
1. Redistributions of source code must retain the above copyright notice, this list of conditions and the following disclaimer.
2. Redistributions in binary form must reproduce the above copyright notice, this list of conditions and the following disclaimer in the documentation and/or other materials provided with the distribution.
En termes simples, la distribution d’un code source ou d’un exécutable contenant du code placé sous licence BSD doit conserver le copyright de l’auteur (ici, la fondation NetBSD). Cette licence très permissive permet aux éditeurs d’intégrer du code BSD dans leurs propres solutions, y compris si le produit fini adopte une licence propriétaire. Ils n’ont aucune obligation de distribuer le code source modifié à la communauté.
La troisième clause mentionnait que toute publicité effectuée autour d’un produit contenant du code placé sous licence BSD devait le préciser. Dans la pratique, cela pouvait poser divers problèmes lors de la diffusion d’un logiciel propriétaire (ou non) contenant un tel code.
Alistair Crooks encourage également les développeurs de logiciels tiers dédiés à NetBSD à adopter une licence à deux clauses.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.