Le versement de primes par des entreprises pourtant en grandes difficultés suscite la polémique. Mais le scandale provoqué s’arrête souvent aux portes des entreprises. Si en France, certaines d’entre elles ont fini par céder sous la pression (épisode de la Société Générale), outre-Atlantique, ce type de décision est validé par la justice.
Ainsi, des tribunaux américains et canadiens viennent d’autoriser Nortel, pourtant sous la protection du Chapitre 11, c’est-à-dire quasiment en faillite, à verser à ses haut dirigeants pour 7,3 millions de dollars de primes.
Explication officielle : retenir les managers pendant la restructuration engagée par le premier équipementier télécoms nord-américain.
Même au pays de l’ultra-libéralisme, cette décision provoque le scandale. Notamment chez les employés licenciés qui avaient saisi la justice afin de s’opposer à ces primes. Ils réclamaient le versement des indemnités de licenciement qui leur avaient été refusées en raison du placement de Nortel sous la protection des tribunaux, début janvier.
Visiblement, les simples salariés de Nortel n’ont pas de rôle à jouer dans l’éventuel redressement du groupe…
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.