A l’origine, Opi Inc. développait des composants, mais en septembre 2002 elle a cédé ses activités de fabrication et de distribution à la société Opti Technologies, qui n’a de commun que le nom, afin de se réserver les seuls revenus des droits afférents à ses brevets.
Cependant, selon la SEC – le gendarme de la Bourse américaine – le contrat qui lie Opti et Opti Technologies prend fin sur l’année fiscale 2005. Ce qui incite Opti Inc. a réviser son modèle économique. Les cinq brevets objet de la plainte qui sera déposée par Opti portent sur le ‘Predictive Snooping of Cache Memory for Master-Initiated Accesses et sur une interface de bus ISA compacte, sans que l’on sache exactement quels produits ou technologies de NVidia sont visés. Opti Inc. a très clairement indiqué quels étaient ses objectifs pour engranger des revenus dans le futur : « des royalties ou des licences sur la propriété intellectuelle de la société« , mais aussi, et c’est plus inquiétant, « poursuivre des revenus de licences de sociétés dont nous croyons qu’elles enfreignent nos brevets« . Ce modèle économique a valu à Opti Inc. une intervention de la Securities and Exchange Commission (SEC), qui l’a rayée de la liste des sociétés qui relèvent du NASDAQ.
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