La semaine dernière le quotidien néerlandais « De Telegraph » annonçait que NXP Semiconductors aurait engagé des pourparlers en vue d’une fusion avec Intel, Qualcomm et Broadcom.
Mais Richard Clemmer, CEO de ce géant des semiconducteurs, interrogé par Reuters, a partiellement démenti l’information: il affirme que la firme, spécialiste des puces pour le paiement sans contact (NFC), n’était pas à vendre. Mais, il a ajouté qu’un rachat était envisageable à hauteur d’une surcote de 80% par rapport à la valeur de l’action. Ce qui correspondrait à une offre similaire à celle faite par Texas Instruments pour l’acquisition de National Semiconductor.
TI s’est en effet rapproché la semaine dernière de son concurrent en proposant un montant estimé à 6,5 milliards de dollars rapporte ITespresso.fr. Une transaction qui devrait s’achever d’ici neuf mois.
Avec un chiffre d’affaires en 2010 établi à 14 milliards de dollars pour TI et 1,42 milliards de dollars pour National Semiconductors, la concurrence pourrait donc réagir rapidement. D’autant que le domaine du NFC (Near Field Contact) devrait commencer à équiper une partie des téléphones dès cette année, puisque Android 2.3 (Gingerbread), la dernière version de l’OS mobile de Google supporte déjà cette technologie.
NXP, anciennement rattaché à Phillips pour les activités semi-conducteurs a cédé plusieurs de ses branches d’activités ces dernières années, et a notamment confié en 2009 à Gemalto la direction de l’un de ses pôles à Sophia-Antipolis dans les Alpes Maritimes, déjà spécialisé dans les puces sans contact.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.