En 2013, le navigateur web Opera abandonnait son moteur de rendu, au profit du WebKit (utilisé par Apple et Google). Voir à ce propos notre précédent article « Opera bascule vers le WebKit : “C’est la meilleure chose à faire” ».
Malgré ce choix, l’éditeur norvégien n’arrive pas à sortir son épingle du jeu, devant les ténors du marché que sont Chrome, Firefox et le couple IE/Edge. La version de développement d’Opera 40 tente de se démarquer par ses fonctionnalités. Elle propose ainsi un lecteur de flux RSS intégré.
Opera tente donc à nouveau de gagner des partisans via des fonctionnalités étendues. Une des recettes de son succès passé. Reste à savoir si un lecteur de flux RSS sera encore apprécié aujourd’hui. De fait, cette technologie tend à se ‘bétamaxiser’ : très utile, elle est pourtant progressivement abandonnée à la fois par les internautes et les éditeurs de sites web.
Reste que quelques fonctionnalités de cette solution font mouche, comme le système de compression des pages web, qui permet de sauver de la bande passante, où une offre VPN intégrée au cœur de l’application, pour un surf en toute discrétion.
Les utilisateurs les plus fidèles d’Opera se souviendront toutefois que certaines fonctionnalités ne sont toujours pas revenues, comme le lecteur de courriers électroniques ou le client BitTorrent.
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