Opera Software lance aujourd’hui une salve de nouveautés dans le cadre du Mobile World Congress 2012 de Barcelone. L’éditeur livre tout d’abord la version 12 d’Opera Mobile pour Android.
Au menu, un support du WebGL (3D accélérée au sein des navigateurs) et du NFC (communications sans contact) ainsi qu’une meilleure gestion de l’HTML5, au travers de l’adoption d’un moteur modernisé d’analyse du code et du support de nouvelles fonctionnalités. La page de garde de l’application a également été remaniée.
Opera Mini, compatible avec un plus grand nombre de terminaux (dont les machines Apple), propose, lui aussi, – dans sa version “Next” – une nouvelle page de garde, qui intègre des informations personnalisées : contenu de l’utilisateur, alertes issues de Facebook et Twitter, etc. Pratique.
Mais ce n’est pas tout. L’éditeur norvégien élargit la cible de la version Android d’Opera Mobile. Jusqu’alors compatible uniquement avec les processeurs ARM, ce produit le devient maintenant avec les machines pourvues de puces x86 et MIPS.
Une façon de répondre au retour d’Intel sur le marché des smartphones, ainsi qu’à l’arrivée d’Android sur de nouveaux marchés (Smart TV, produits pourvus de processeurs chinois…) où l’architecture MIPS se montre plus présente.
Ces moutures d’Opera Mobile pourront être téléchargées depuis le site de l’éditeur. Elles sont compatibles avec Android 4.0 « Ice Cream Sandwich ».
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.