IBM, Sun, Intel, AMD ou Microsoft publient leurs résultats trimestriels, et ils déçoivent. Ce n’est pas tant qu’ils soient mauvais. Au contraire, ils devraient satisfaire les investisseurs, à l’image de Microsoft qui annonce des ventes et bénéfices en hausse et supérieurs aux attentes. Ce que le marché leur reproche, c’est l’absence de signe fort de reprise du secteur technologique. Les commentaires pessimistes liés au marché de l’informatique ne vont pas améliorer les perspectives à court terme. Une fois encore, les investisseurs privilégient le floue et doutent des entreprises vedettes d’hier. Les fortes fluctuations des valeurs technologiques américaines accusent l’absence de volonté et l’excessive prudence des investisseurs Il n’aura donc pas fallu plus de trois semaines de relative euphorie aux investisseurs américains pour replonger dans le pessimisme ambiant qui a dominé l’année 2002. Et ce ne sont pas les velléités guerrières du patron de l’administration américaine qui vont renverser la vapeur ! Seules résistent les valeurs refuges. Ils n’y a plus guerre que l’or et les obligations du trésor pour recueillir l’agrément des investisseurs.
Yves Grandmontagne
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