Après six mois de réflexion, le géant de l’électronique Philips a choisi Caen pour accueillir son campus technologique. La ville normande a été préférée à Hambourg (Allemagne) ou encore à Nijmegen (Pays-Bas).
Construit sur le site de l’ex-Société Métallurgique de Normandie (SMN), fleuron industriel de la région qui avait fermé ses portes il y a dix ans, le campus couvrira 25 hectares pour 100.000 m2 de bâtiments. Caen devrait ainsi devenir « un centre d’expertise mondial pour une nouvelle filière technologique d’intégration des composants passifs sur circuit intégré », a précisé la préfecture du Calvados et de Basse-Normandie. Cette nouvelle technologie a été baptisée par Philips « Esip » (Easy system in package). 200 millions d’euros d’investissement La partie la plus visible de cet investissement de Philips sera la création du campus technologique. « Le but est de regrouper des moyens technologiques communs et d’élargir la coopération avec nos partenaires, de regrouper les compétences », a expliqué le directeur du centre Philips Semiconducteurs de Caen, Henri-Alain Rault. Intégré dans le cadre de la réorganisation des activités Recherche et Développement de la branche française du groupe électronique néerlandais, le projet ne devrait pas créer directement d’emplois. Philips va y investir 200 millions d’euros, dont 33 à 53 millions d’euros de subvention des pouvoirs publics (Etat, Conseil régional, Feder -fonds européen de développement régional) dans les cinq ans à venir.
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