L’objectif de Qualcomm est ambitieux : proposer rapidement sur le marché de la téléphonie mobile des appareils dont les composants permettent de se dispenser de l’utilisation de coprocesseurs et d’environnements propriétaires afin d’en réduire les coûts.
Pour arriver à ce résultat, Qualcomm mise sur une plate-forme Linux qui doit restreindre l’usage de systèmes d’exploitation complexes, et proposer une solution ouverte aux industriels de la téléphonie mobile. Le créateur de la technologie Code Division Multiple Access (CDMA), très répandue en Amérique et en Asie, intègre dans ses nouveaux composants les protocoles Universal Mobile Telecommunications System, High-Speed Downlink Packet Access et CDMA2000. Qualcomm rejoint donc plusieurs acteurs majeurs du marché de la téléphonie mobile – comme l’américain Motorola, le japonais NTT DoCoMo, et même PalmSource en Chine – qui se sont déjà engagés sur Linux. Une opportunité pour l’industrie de réduire ses coûts en supprimant les licences dues à Symbian ou Microsoft sur les ‘smart phones’. Selon IDC, Linux devrait représenter 4% du marché de la téléphonie mobile à la fin 2006.
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