Gilles Pélisson devrait en toute logique prendre la tête d’Accor, soutenu en cela par son oncle, l’un des fondateurs du groupe hôtelier. Cette nomination fait une victime de taille, le numéro 2 de Capgemini, Pierre Danon, renvoyé du groupe, car il s’est porté candidat à ce poste (cf. notre article).
Mais surtout, elle met Bouygues Telecom dans une situation délicate. Gilles Pélisson était en effet jusqu’à aujourd’hui à la tête du troisième opérateur mobile français. Comment va donc réagir la filiale du géant de la construction ? Selon les Echos, BouyguesTel devrait privilégier une solution interne. Nonce Paoli, actuellement directeur général adjoint pourrait se voir offrir une ‘promotion’. On parle aussi de Philippe Montagner, un directeur général de Bouygues et qui a dirigé Bouygues Telecom de 1998 à 2004. Pour l’heure, l’opérateur se refuse à tout commentaire. Mais cette valse des patrons tombe un peu mal. Bouygues Telecom doit en effet lancer ce jeudi sa nouvelle offre haut débit mobile grand public basée sur la technologie Edge (cf. nos articles). Or, le groupe télécoms est critiqué sur ces choix. Il est en effet isolé face à Orange et à SFR qui exploite en même temps les réseaux 3G et Edge. Le nouveau patron de l’opérateur devra à nouveau tenter de convaincre les observateurs de la pertinence de sa stratégie.
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.
FT Group, éditeur du Financal Times, a signé un accord avec OpenAI afin d'utiliser ses…
Au premier trimestre, Microsoft, Meta/Facebook et Alphabet/Google ont déjà investi plus de 32 milliards $…
La société britannique de cybersécurité Darktrace a accepté une offre de rachat de 5,32 milliards…