Les analystes craignent le découpage et la vente par morceau des actifs américains de Vivendi Universal. Or, cette éventualité semble bien se dessiner, et de nombreux acteurs, voire prédateurs, affûtent leurs armes. Le démantèlement de la filiale Vivendi Universal Games, spécialisée dans la production de jeux vidéo, pourrait rapporter entre 800 millions et 1,5 milliard d’euros. Après le démenti de Microsoft qui ne se déclare pas intéressé, le quotidien « La Tribune » mentionne Electronic Arts, ainsi que de Sony et Sega, en même temps que les studios Blizzard ou Sierra, qui font partie du groupe. Les Studios Universal seraient également intéressés. Le milliardaire américain Marvin Davis serait sur les rangs pour Vivendi Universal Entertainment. Souhaitant depuis longtemps revenir sur la scène hollywoodienne, il cherche à réunir les financements nécessaires à son offensive pour l’acquisition de ces actifs. Restent les actifs d’Havas, plutôt marqués « made in France ». Ils pourraient être repris par des éditeurs indépendants.
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