La convergence des flux sur IP a réellement pris sa place lorsque les réseaux d’accès vers les entreprises et vers les particuliers ont bénéficié des hauts débits. L’ADSL à domicile s’est banalisé,
apportant des débits descendants de 2 puis 6 puis 8 Mbps.
Du jour au lendemain, les entreprises se sont trouvées, comparativement, sous-équipées, elles qui paient fort cher leurs liaisons spécialisées, certes, avec beaucoup de qualité de service, mais avec des débits moyens.
Le même écart est en train de se produire dans les accès radio mobiles : une fois lancées les premières applications « data » grand public grâce aux usages nouveaux d’Edge (le GSM data de 2è génération) ? initiés par le Japon-, les flux IP ont fait un bond en avant grâce au phénomène Blackberry de RIM. Et depuis lors, la boîte de Pandore est ouverte : après les e-mails, les images, les documents graphiques, déjà la TV pointe son nez et sa couleur sur les mobiles !
Pour en parler de façon contradictoire :
-Michel Azoulay, directeur commercial d’Extricom France
-Michel-Ange Camhi, responsable Mobilité R&D, d’ATOS Worldline
-Stephan Malric, chef produit de Quescom
-Caroline Couturier, directeur du développement des produits, BT France
-Eric Assaraf, directeur d’IP Conseil Stratégie
-Philippe Larédo, président d’Option Service Telecom.
Mardi 13 mars, 14-16H30 Table-ronde animée par Pierre Mangin, rédacteur en chef de Silicon.fr
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