SAP a su tirer profit de l’instabilité de ses concurrents au cours de ces derniers mois – qu’il s’agisse de l’OPA d’Oracle sur PeopleSoft ou des difficultés de Siebel Systems, pour ne citer que ceux là. Le champion de l’ERP a fait son marché, sans s’interdire de débaucher.
Le géant allemand des progiciels a annoncé avoir débauché plus de 200 salariés originaires de ses principaux concurrents. Des mouvements qui concernent autant des fonctions de dirigeants, que de commerciaux ou d’experts en systèmes. Il est vrai que SAP peut séduire? Le groupe ne s’est pas engagé dans des opérations de croissance externe longues et hasardeuses. Il a su garder ses distances et se retirer à temps si nécessaire. Et avec ses projets communs avec Microsoft, il conserve de fortes opportunités de progression. Une partie des transfuges a rejoint le nouveau centre de développement de l’éditeur en Californie. Mais de là à affirmer que « Ces arrivées marquent une nouvelle étape dans la vie de la Silicon Valley« , il y a un gouffre que SAP semble vouloir franchir un peu rapidement.
FT Group, éditeur du Financal Times, a signé un accord avec OpenAI afin d'utiliser ses…
Au premier trimestre, Microsoft, Meta/Facebook et Alphabet/Google ont déjà investi plus de 32 milliards $…
La société britannique de cybersécurité Darktrace a accepté une offre de rachat de 5,32 milliards…
Silicon et KPMG lancent la deuxième édition de l'étude Trends of IT. Cette édition 2024…
Le ministère de l'économie a adressé une lettre d'intention à la direction d'Atos pour racheter…
Directeur Technologie de SNCF Connect & Tech, Arnaud Monier lance une campagne de recrutement pour…