Comme France Télécom, SFR a décidé de réorganiser sa direction pour plus d’efficacité. Il s’agit aussi pour l’opérateur de s’adapter au rapprochement entre Cegetel et Neuf Telecom, SFR détenant 28% du nouvel ensemble.
Dans un communiqué, la filiale de Vivendi Universal et Vodafone indique que son p-dg, Frank Esser, a souhaité doter l’entreprise « d’une structure de décision plus resserrée ». SFR se dote ainsi de trois pôles d’activités opérationnelles et d’un comité exécutif qui, autour de Frank Esser, comprend: – Pierre Trotot, administrateur et directeur général délégué finances et administration ; – Frank Cadoret, directeur général commerce et service clients ; – Paul Corbel, directeur général réseau et systèmes ; – Jean-Marc Tassetto, directeur général marketing et grand public ; – Richard Lalande, directeur général adjoint, Stéphane Roussel, directeur général ressources humaines. Cette réorganisation fait une victime, Pierre Bardon, directeur général délégué de SFR. Il est nommé directeur général des relations extérieures. Une nomination en forme de sanction ? Certes, SFR n’a jamais réussi à rattraper Orange mais Pierre Bardon a pourtant quelques belles réussites à son actif notamment dans la 3G. Sur ce nouveau créneau, l’opérateur a séduit plus d’un million de personnes et se place devant Orange. D’un autre côté, il est également un des dirigeants mis en cause dans le scandale du ‘yalta des mobiles’, qui a débouché sur la condamnation des trois opérateurs mobiles par le Conseil de la concurrence.
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