En coopération avec BT Technologies et la « Technical University » de Eindhoven (Pays-Bas), l’équipementier allemand vient de faire la démonstration que l’on peut atteindre des vitesses de 160 gigabits/seconde sur un équipement de commutation optique. C’est le résultat de travaux financés par un programme de recherche européen baptisé « Fashion » (
ultra FAst Switching in HIgh-speed OTDM Networks). Avec de tels débits, la réduction des investissements en équipements DWDM sera très importante: arithmétiquement, cela reviendra à remplacer 16 canaux DWDM à 10 gigabits/sec par un seul lien à 160 gigas. Pourtant des recherches complémentaires vont devoir être menées, avant que des produits industriels ne soient commercialisés. Les produits 40 gigas, bien que non encore finalisés sont déjà désuets, paraît-il A noter que Siemens rejoint ainsi le club très fermé des stars du haut débit: Mitsubishi Electric (Japon), Heinrich Hertz Institute (HHI), les Bell Labs.
FT Group, éditeur du Financal Times, a signé un accord avec OpenAI afin d'utiliser ses…
Au premier trimestre, Microsoft, Meta/Facebook et Alphabet/Google ont déjà investi plus de 32 milliards $…
La société britannique de cybersécurité Darktrace a accepté une offre de rachat de 5,32 milliards…
Silicon et KPMG lancent la deuxième édition de l'étude Trends of IT. Cette édition 2024…
Le ministère de l'économie a adressé une lettre d'intention à la direction d'Atos pour racheter…
Directeur Technologie de SNCF Connect & Tech, Arnaud Monier lance une campagne de recrutement pour…