Indéniablement, les smartphones des particuliers envahissent l’entreprise à travers des usages personnels et professionnels. Que ce soit depuis des terminaux personnels (entraînés par le phénomène du BYOD) ou fournis par l’entreprise. Mais qu’en est-il des données relatives à ces usages ? C’est ce qu’a voulu savoir l’Idate qui, à l’occasion du salon Réseaux & Télécoms 2012 (23-25 octobre, Paris), a présenté une nouvelle étude sur la tendance.
Ce qui n’empêche pas ces dernières de continuer à équiper leurs salariés. Environ 10 % à 15 % d’entre eux sur les trois régions étudiées devraient se voir doter d’un nouveau smartphone par leur employeur. En la matière, le Royaume-Uni se montre le plus dynamique et s’inscrit comme un laboratoire in vivo des évolutions susceptibles de se généraliser à court terme dans les pays voisins.
Si plus d’un salarié sur 2 (45 % en France) dispose d’un smartphone personnel, l’étude constate que 3 à 4 actifs sur 10 utilisent un « téléphone intelligent » à des fins professionnelles, que celui-ci ait été fourni par l’entreprise ou non. Qu’en font-ils dans le cadre professionnel ? Ils téléphonent avant tout, pour la totalité des personnes interrogées.
Si la voix reste l’application la plus utilisée, les SMS/MMS et e-mails suivent de près (autour de 80 %) tout comme la gestion de l’agenda en mobilité (particulièrement en France). Et, bien sûr, le web est fréquenté à hauteur de 70 % d’entre eux.
À l’opposé, les applications de type CRM, les présentations, les opérations de relevé de données ou la gestion des ventes touchent moins de 20 % des usages mobiles. La lecture de la presse sur smartphone est en revanche bien suivie. Jusqu’à plus de 50 % des utilisateurs au Royaume-Uni.
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