Que va devenir l’offre Pure Service Orchestrator ? La question se pose à l’heure où son éditeur Pure Storage fait l’acquisition d’une solution positionnée sur le même créneau. Il met, en l’occurrence, environ 370 millions de dollars sur la table pour s’offrir Portworx.
Cette entreprise californienne née en 2014 compte Airbus, Carrefour, Ford et General Electric parmi ses clients. Elle leur fournit une couche logicielle de gestion du stockage orchestrée par Kubernetes.
Il en existe une version gratuite qui prend en charge un nombre de nœuds et une capacité de stockage limités.
La version payante est facturée sous forme d’abonnement annuel ou à l’usage. Elle comprend trois briques principales :
À cette base peuvent se greffer les composantes PX-Autopilot (mise à l’échelle automatique), PX-Backup et PX-DR (sauvegarde incrémentale et réplication).
L’ensemble fonctionne sur les principales distributions Kubernetes du marché. Parmi elles, OpenShift (IBM), AKS (Microsoft), GKE (Google Cloud) EKS et ECS (Amazon).
Pure entend poursuivre, jusqu’à nouvel ordre, la commercialisation de cette solution « telle quelle ». Une intégration avec Pure Service Orchestrator est toutefois à l’étude, pour aller vers une stack unifiée.
Portworx poursuivra son activité sous la forme d’une entité « cloud-native », avec à sa tête son actuel CEO Mulri Thirumale.
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