Le terminal informatique du futur sera-t-il mobile ou classique ? Si le PC ne risque pas de disparaitre de si tôt, certains acteurs nous promettent que les smartphones et tablettes seront bientôt massivement utilisés. C’est ainsi le cas de Jen-Hsun Huang, président, CEO et cofondateur de NVIDIA, qui avouait récemment ne plus guère se servir de son ordinateur portable, l’essentiel de son activité s’effectuant depuis son BlackBerry.
Une excellente manière de visualiser l’évolution du marché mobile face au marché desktop reste d’étudier la répartition des machines accédant à Internet. De fait, mobile ou desktop, une grande partie des terminaux se connectent aujourd’hui au web. Par chance, StatCounter propose un graphique qui permet de comparer le poids de ces deux acteurs sur la Toile. En un an, les terminaux mobiles sont passés de 1,15 % à 3,5 % des visites. Si le monde desktop représente encore 96,5 % du marché, sa baisse est constante et semble aujourd’hui inéluctable.
En Europe et en France, le phénomène est moins marqué (1,69 % et 1,95 %). À contrario, les États-Unis signent un excellent score de 4,72 % pour les terminaux mobiles, à comparer avec les 1,47 % relevés il y a tout juste un an. Sans surprise, c’est toutefois l’Asie qui explose les compteurs. La part des terminaux mobiles ayant accédé au web est ainsi passée de 1,45 % à 5,99 % en une seule année.
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