Sale temps pour l’opérateur allemand. Ce dernier peine à trouver un repreneur pour sa SSII T-Systems. Selon le quotidien la Tribune, l’opérateur cherche encore. Il y’a quelques mois, son président René Obermann faisait part de sa volonté de cesser tout investissement vers la filiale de services dédiée aux entreprises.
Fin 2006 déjà, l’opérateur tente quelques rapprochements. Des partenariats avec les français Atos Origin et CapGemini ou encore l’américain EDS sont un temps envisagés.
Pour le président Obermann, il s’agit de conserver ses 160.000 PME clientes tout en cédant les grands comptes.
Cependant, aucune solution positive ne se présente aux yeux du groupe allemand. L’un des repreneurs potentiels, l’américain EDS a delaissé le projet de fusion. Différentes raisons motivent ce refus : clauses de risques dans le contrat clients, possibilité de sureffectif et prix.
Selon le quotidien économique la Tribune, le rapprochement avorté avec EDS représentait le dernier atout du groupe. Ainsi, le président se doit de trouver une solution dans les délais les plus brefs. Le départ récent de Lothar Pauly, suspecté de corruption et son remplacement par le directeur financier ont largement contribué à l’enlisement de la situation.
Le groupe ne peut même plus s’appuyer sur sa filiale française. Au premier trimestre 2007, Le p-dg Pierre Joudiou annonçait « un portefeuille de commandes[totalisant] 1 milliard d’euros d’opportunités négociables sur l’année« . Une embellie que le dirigeant comptait confirmer avec le soutien d’un nouveau partenaire. Un partenaire qui se fait plus que jamais désirer.
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