Etudier sur le piratage des cartes RFID du métro de Boston comporte certains risques. Comme celui de se voir refuser l’entrée de la convention Defcon de Las Vegas, traditionnel rendez-vous des ‘hackers’.
Pour sa 16è édition, ce congrès a rassemblé ce week-end tous les pirates et autres agitateurs du monde de la sécurité. Peine perdue puisqu’il manquait parmi les 8.000 participants trois étudiants du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ; ils n’ont pas eu le droit de présenter le résultat de leurs travaux, sur la façon de détourner le système RFID utilisé dans le métro de Boston.
Forcés, la veille, par un juge fédéral, ils n’ont donc pas pu proposer un logiciel permettant de pirater ce type de cartes. La société en charge des transports de la ville ne souhaitait pas subir de contre-publicité.
Les trois étudiants ont dû se contenter d’une conférence de presse « off », pendant laquelle aucun détail technique n’a filtré. Dommage, c’eut été un moment fort du salon, selon ceux qui s’y trouvaient…
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