Aujourd’hui se déroule le Document Freedom Day. Cette « Journée de libération des documents » vise à mettre en avant l’importance des formats de documents ouverts et le caractère essentiel de leur utilisation.
Gages d’indépendance et d’interopérabilité, les formats ouverts sont également une garantie de bon fonctionnement pour l’avenir. Combien de personnes se sont retrouvées incapables d’ouvrir leurs documents créés sous Works parce que l’éditeur ayant développé ce produit (Microsoft en l’occurrence) a décidé d’en supprimer le support de ses outils bureautiques les plus récents ?
C’est en tout premier lieu ce genre de problèmes que souhaite éviter la Free Software Foundation Europe (FSFE), qui est – entre autres – à l’origine de cette initiative. En mettant en avant des formats ouverts, comme l’ODF (open document format), elle espère réduire les risques pour l’utilisateur. Reste que ce dernier doit avant tout prendre conscience des dangers qu’il encourt avec les formats fermés. D’où l’organisation de cette journée.
Le Document Freedom Day est soutenu activement par les associations de promotion et de défense des logiciels libres. C’est le cas de l’April, qui rappelle l’importance des formats de documents numériques ouverts : « Ces formats permettent aux citoyens, aux consommateurs, aux gouvernements comme aux entreprises d’utiliser les logiciels de leurs choix tout en conservant la maîtrise sur leurs documents et leurs données sur le long terme », résume Frédéric Couchet, délégué général de l’association.
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