A peine promulguée par le président Bush, la loi interdisant le spamming suscite la polémique. Car le texte n’interdit pas formellement cette pratique commerciale pénible pour les utilisateurs notamment les entreprises qui y perdent en productivité (lire nos informations).
Pire, selon une étude de la société Postini, spécialisée dans la sécurisation des e-mails, le texte ne changera rien. Selon cette enquête, les ‘spams’ pourraient représenter plus de 75% de l’ensemble des courriers reçus par les possesseurs d’adresse électronique l’an prochain contre environ 50% actuellement. Un nombre croissant de ces courriels pourraient être infestés par des virus ou être destinés à obtenir, auprès de l’utilisateur, des mots de passe ou des informations financières, prévient l’étude. Pour endiguer le fléau, le cabinet d’études Forrester propose simplement de rendre payant ces envois. Selon le cabinet, facturer un quart de centime chaque courrier non sollicité contribuerait à réduire le volume de ‘spams’. Mais une telle mesure n’est pas prête d’être appliquée.
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