La mise en ligne d’applications grand public ou professionnelles semble être au coeur des stratégies des éditeurs ou des géants du Web. Salesforce.com a ouvert le feu avec des logiciels pro, aujourd’hui Microsoft (Office Live), comme Google (Writely, Spreadsheet, services Premium), a suivi le mouvement.
Adobe entre dans la danse et annonce que le célèbre Photoshop aura, lui aussi, une version en ligne. Elle sera disponible d’ici six mois. Accessible depuis n’importe quel navigateur Web, cette version n’offrira pas toutes les fonctions du logiciel de retouche photo. Mais le grand public devrait s’y retrouver -assure Adobe qui veut ainsi élargir la cible de son logiciel pour le moment utilisé majoritairement par les professionnels de la création -maquettiste, photographes…
Principal atout de cette future version : la gratuité. En effet, l’éditeur a opté pour le modèle basé sur la publicité. On y trouvera, entre autres services en ligne, ceux de Google.
Pour autant, ce modèle économique a-t-il vocation à remplacer les boîtes ou simplement à venir en complément des modes traditionnels en créant pour les éditeurs un nouveau type de rétribution ?
Pour Microsoft, les services en ligne n’ont pas vocation à remplacer le poste de travail. « Nous n’avons pas la vision du ‘software as a service’, nous ne cédons pas à la mode Google de tout porter en ligne, et d’ailleurs être connecté en ligne en permanence n’est pas à l’ordre du jour. Nous avons une vision du logiciel et du service, afin d’arriver à mélanger le meilleur des deux mondes.« , explique Fabrice Milhoud, responsable stratégie de Microsoft France.
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