Après avoir supprimé 2.000 emplois en 2002, l’opérateur américain de téléphonie mobile AT&T Wireless maintient la pression sur sa masse salariale, et selon le ‘
Wall Street Journal‘ aurait lancé un nouveau programme de restructuration. 3% des salariés du groupe sont concernés, soit environ 1.000 suppressions d’emplois supplémentaires. Bien que le plan n’ait pas encore été dévoilé, il a été lancé depuis la mi juin, avec des touches successives de 200 puis 300 suppressions de postes. Wall Street, comme à son habitude, a salué la démarche en plaçant le titre largement à la hausse. L’objectif du nouveau plan est de centraliser les opérations du groupe, mais aussi d’accroître son efficacité. Donc bien entendu d’obtenir un résultat identique quant aux revenus des investisseurs. Démonstration de l’effet des licenciements sur les cours de Bourse
Kemet, producteur américain de pièces détachées pour ordinateurs et téléphones portables, annonce la suppression de 650 emplois et la délocalisation d’une partie de sa production vers l’Asie. Réaction immédiate de la Bourse de New York : le titre bondit de 4,11% dans les minutes qui suivent l’annonce.
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