Les perquisitions opérées par l’Industrie du disque australienne dans les bureaux de Kazaa ont fortement déplu à Sharman Networks, l’éditeur du célèbre logiciel de peer-to-peer.
La semaine dernière le « Music Industry Piracy Investigations » a obtenu l’autorisation auprès de la justice australienne de perquisitionner pas moins de 12 sites pour trouver des preuves contre Kazaa. Une première judiciaire: un groupement privé a ainsi obtenu de la justice publique un mandat de perquisition et la latitude pour diligenter des enquêtes! Aujourd’hui, Sharman Networks indique avoir saisi la cour fédérale d’Australie afin que la décision de justice liée à cette action soit reconnue comme invalide. Les avocats de l’éditeur ont déclaré que cette action qu’ils pensent litigieuse était l’équivalant d’une bombe nucléaire dans le domaine de la justice. Ce qui est loin d’être faux.
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