VMware vient tout juste de lever le voile sur son offre PaaS (Platform as a Service) ouverte, Cloud Foundry. Ce produit, que certains voient déjà comme le concurrent le plus crédible à Windows Azure, est non seulement disponible sous la forme d’un service public hébergé (opéré par VMware), mais aussi sous celle d’un projet communautaire adoptant la licence open source Apache 2.
Cloud Foundry est compatible avec de multiples frameworks (Grails, Rails, Sinatra, Spring…), diverses bases de données (MongoDB, MySQL et Redis) et langages de développement (Groovy, Java, JavaScript, Ruby…), qui pourront cohabiter au sein d’un même ensemble. Cette solution se veut également particulièrement interopérable : VMware vSphere, VMware vCloud, Amazon Web Services, etc.
Prochainement, la firme devrait décliner son offre pour les clouds privés ou publics de ses clients. Au cours du second trimestre, elle prévoit également de fournir Cloud Foundry sous la forme d’une appliance logicielle dédiée aux développeurs. Cette dernière sera directement utilisable au sein d’un outil de virtualisation.
« À l’heure du cloud computing, l’ouverture technologique est un facteur critique », constate Rod Johnson, vice-président senior de la stratégie pour plateformes applicatives chez VMware. « De la même façon qu’un modèle ouvert a permis à Spring de devenir la solution idéale pour la communauté Java, l’ouverture de Cloud Foundry et sa prise en charge par la communauté open source permettront aux développeurs de capitaliser sur la productivité et la simplicité de cet environnement PaaS tout en complétant cette technologie pour l’adapter parfaitement à leurs besoins. »
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