Le videur, à la porte! A l’entrée des boîtes de nuit futuristes, on installe désormais des systèmes de sécurité basés sur les techniques de reconnaissance faciale, rapporte www.repubblica.it, du 5 mars. Le but: éviter les fauteurs de trouble.
Cette pratique, qui a déjà cours au Royaume-Uni et aux Pays-Bas, est expérimentée aux Etats-Unis, au Canada et en Australie. L’une de ces solutions, Biobouncer, en provenance des Etats-Unis, coûte 7500 dollars environ. Simple comme bonsoir Son fonctionnement est plutôt simple, selon le quotidien italien : des caméras filment les individus qui entrent. Et les visages qui défilent sont comparés à ceux des « individus indésirables », stockés dans une base de données. Et cela, via un logiciel de reconnaissance faciale. Si ce dernier en reconnaît un, il alerte les services de sécurité. Mieux : la base de données des clients douteux peut être partagée avec les autres clubs, dès lors qu’ils adhèrent au même réseau de sécurité. Ethique de nuit L’éditeur de Biobouncer, JAD Communication & Security, spécialisé dans les systèmes de sécurité basés sur les techniques bio-métriques, se veut rassurant sur le respect de la vie privée des oiseaux de nuit. « Les images des personnes qui ne sont pas identifiées comme problématiques sont automatiquement détruites » assure Jeff Dussich, co-fondateur de l’entreprise. Certes, « on ne peut pas exclure la possibilité d’erreur et d’abus », admet-il, mais « j’ai confiance dans les être humains », poursuit-il, « Une technologie est bonne, si ses utilisateurs le sont ». On est rassuré, tout va pour le mieux.
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