Mi-juillet, le magazine Capital.fr croyait savoir que le géant américain HP (Hewlett Packard) allait s’offrir le coq français Bull, symbole de poids de l’informatique à l’européenne. Et il précisait un montant poru la transaction: environ 700 millions d’euros.
Mais profitant de la présentation de ses résultats semestriels, le patron de Bull a démenti cette information déclarant au journal Les Échos : « Aucune négociation n’est en cours avec HP, et nous n’avons reçu aucune proposition formelle de leur part. »
Il reste que pour les journalistes du quotidien économique un rapprochement entre les deux groupes a bien été à l’ordre du jour. D’ailleurs d’autres partenariats seraient actuellement sur la table des négociations.
Certaines sources rapportent une discussion avec GFI Informatique. Un choix, stratégiquement plus réaliste dans la mesure où Bull a déjà fortement renforcé sa division services.
En attendant de trouver une bague à son doigt, Bull continue de remonter la pente et affiche une croissance de ses revenus de 4,6%.
La branche Services affiche une bonne santé avec une croissance de 13,5%. Les ventes de produits restent stables à 257 millions d’euros. La division Maintenance progresse de 3,2%.
Dans ce contexte, la société a confirmé un objectif de résultat d’exploitation de 20 à 24 millions d’euros en 2007 contre 19,7 millions d’euros l’année précédente.
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