La dictature chinoise est très fière de dénombrer environ 70 millions d’internautes. Mais si le pays favorise le développement des nouvelles technologies, il ne supporte pas la dissidence. Alors, il verrouille, il surveille, il sanctionne.
Outre le filtrage des sites, les autorités ont décidé de serrer, encore un peu plus, la vis de la surveillance des cyber-cafés du pays. Ainsi, après avoir installé des caméras dans ces cafés, la municipalité de Shangaï a décidé d’exiger l’authentification de chaque utilisateurs avant de pouvoir surfer. Les internautes chinois devront s’enregistrer avec leur numéro de carte d’identité (!). Les étrangers sont aussi concernés puisqu’ils seront priés d’entrer leur numéro de passeport. Un bon flicage dans les règles de l’art. « Le logiciel peut aider à superviser plus de 110.000 ordinateurs dans les 1.325 cafés internet que compte la ville et repérer immédiatement des activités illégales », explique simplement Yu Wenchang, le chef du projet cité par le journal Shanghai Daily. Repérer et sanctionner: des dizaines d’auteurs d’articles critiques envers le régime publiés en ligne se sont retrouvés en prison.
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