Gravement mis en cause sur la sécurité de son service, Zoom a lancé la contre-offensive en choisissant Oracle Cloud Infrastructure pour l’héberger.
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« Déjà, Zoom transfère chaque jour plus de 7 pétaoctets via les serveurs Oracle Cloud Infrastructure, ce qui équivaut à peu près à 93 ans de vidéo HD. » indique Oracle qui pilote la communication sur cet accord.
Car si la crise du Covid-19 a été un accélérateur pour l’adoption de Zoom, c’est aussi un moment où la société américaine a essuyé les critiques sur son organisation et ses protocoles de sécurisation des données, en particulier leur transfert par la Chine.
Depuis, la société avait réagi en assouplissant les règles de routage pour ses offres payantes et lancé une version 5.0 disposant d’une sécurisation renforcée, en particulier la norme de cryptage AES 256 bits GCM,
Le choix d’Oracle Cloud est donc son ultime réaction (à date) pour tenter de reconquérir les entreprises et les services publics qui avaient interdit son utilisation à ses collaborateurs.
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