Selon le Wall Street Journal, ce serait 7 managers qui seraient contraints de démissionner. Pour le New York Times, ils seraient au nombre de 12. Ce 20 avril le conseil d’administration doit entériner ces licenciements secs et entendre le p-dg du groupe Sanjay Kumar. Il serait lui-même la cible des investigations de la justice.
Les charges d’accusation pesant contre certains membres de la direction sont lourdes: conspiration, refus de répondre aux enquêteurs lors d’investigations sur des états comptables qui auraient été arrangés afin de maintenir le cours de l’action en Bourse. Au début avril, trois anciens managers, dont l’ancien directeur financier, ont reconnu leur responsabilité dans ce dossier. Ils ont admis que la compagnie avait cherché à dissimuler des pratiques d’imputation rétroactive du chiffre d’affaires. L’objectif était alors d’atteindre, à tous prix, les prévisions de chiffres d’affaires et de résultat attendues par les milieux boursiers de Wall Street. Or le conseil d’administration a clairement fait savoir qu’il se plierait aux investigations menées par les enquêteurs. Et dans les 3 ou 4 jours, il doit statuer s’il y a lieu ou non de mettre en cause le président. Selon le Wall Street Journal, les managers incriminés ce 19 avril seraient de rang intermédiaire et non pas des « top exécutives »; parmi eux figureraient le ‘vice-president’ du département comptabilité des ventes et un conseiller de gestion associé. En 2002, le ‘chairman’ de la compagnie Charles B. Wang, avait été forcé de démissionner. Son adjoint, Sanjay Kumar, considéré comme un de ses proches, avait alors repris les rênes.
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