Alors que la PSP, la nouvelle console portable de Sony, vient de sortir aux Etats-Unis (à quand l’Europe?), de nombreux utilisateurs constatent dans certains cas un douloureux problème de pixel mort.
Les pixels morts sont des pixels qui s’affichent et qui ne disparaissent pas, un problème rencontré sur certains écrans LCD et sur la console de Nintendo, la DS (voir notre article). Chez le japonais, on indique par ailleurs que le problème concerne « quelques consoles ». Et d’ajouter qu’il peut y avoir un voire deux pixels morts par écran, de couleur blanche ou rouge, et souligne que cela arrive même pour les meilleurs écrans LCD. Sony a également reconnu le problème. Mais un vent de panique a soufflé quant à la garantie. Un réseau canadien de distribution a en effet indiqué que la firme ne considérait pas les pixels morts comme un défaut. La garantie ne s’appliquerait donc pas. Mais quelques jours après, un communiqué officiel de Sony se veut rassurant. « Contrairement à ce qui peut se dire un peu partout sur le net, Sony s’engage à réparer voire échanger les PSP dont les écrans sont défectueux. La firme encourage les joueurs touchés par ce fléau à jouer quelques semaines sur leur console, et juger par eux-mêmes s’ils pensent que cela nuit à leur plaisir de jouer. S’il s’avérait que ce soit le cas, SCEA étudiera alors le problème et se fera un plaisir de remplacer la console si nécessaire ». Sony qui joue très gros avec le lancement cette PSP met donc de l’eau dans son vin afin de calmer une grogne qui ne cesse de monter.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.