Il y a encore quelques temps, les jeux vidéos français faisaient figure de référence tant au niveau de la créativité des productions que des performances des sociétés.
Mais l’année 2002 a sonné le glas pour de nombreux éditeurs comme Kalisto ou Cryo qui ont mis la clé sous la porte. Au total, 16 studios de création ont fermé. Seuls les plus puissants comme Infogrames ont pu résister. Aujourd’hui, les pouvoirs publics semblent vouloir arrêter l’hémorragie. La table ronde organisée avec les pouvoirs publics en marge du festival Imagina a confirmé le soutien du gouvernement au secteur. Déjà, des entretiens avaient eu lieu en novembre dernier avec le Premier ministre. Pas d’aides directes Une série de mesures immédiates a été décidée. Un apport d’un million d’euros supplémentaires au Fonds d’aide à l’édition multimédia sera effectué. Il sera destiné en totalité aux jeux vidéo. Un système de fonds de garantie de prêts (Sofaris) va être mis en place. Il permettra aux éditeurs, souvent des PME, d’obtenir plus facilement des prêts auprès des banques. Le gouvernement s’est bien gardé de pratiquer la méthodes des aides directes, méthode qui ne plaît pas à Bruxelles… Pour Laurent Sorbier, conseiller technique chargé de la société de l’information pour Matignon, « il ne serait être question de mettre les studios sous perfusion. Nous les aidons juste à traverser un trou d’air ». Enfin, les instances représentatives du secteur ont été chargées de mettre en place quatre commissions afin de faire des propositions concernant les domaines financiers, juridiques, sociaux et technologiques.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.