La presse américaine s’en émeut à peine! Et pourtant, tout l’Establishment américain semble résigné à l’idée que le sigle mythique AT&T puisse disparaître. C’est pourtant derrière lui que le téléphone est né industriellement. L’hypothèse d’une disparition pure et simple de la marque a été évoquée ce dimanche 30 janvier, sans que personne ne trouve à redire. Il se confirmait que SBC Communication constituerait un nouvel oligopole des télécoms aux Etats-Unis en absorbant AT&T par simple échange d’actions, à hauteur de 15 milliards de dollars, auquel s’ajouterait un milliard de dividendes. Aucune des Baby Bell ne s’est présentée au portillon pour proposer un autre scénario. Le géant des télécoms en quelques mois s’est révélé aux pieds d’argile, acculé à se saborder ou presque. Il est vrai que la dégringolade a été spectaculaire ces 2 dernières années (lire nos précédents articles). Si la proposition de SBC est acceptée, le président de son conseil d’administration et directeur général, Edward Whitacre Jr, prendrait la tête du nouveau méga-groupe, tandis que l’actuel directeur général d’AT&T, David Dorman, deviendrait « président ». AT&T détiendrait 3 sièges, dont celui-ci, au sein du nouveau conseil d’administration. ( A suivre )
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.