« Pour les développeurs, le salaire est le premier critère pris en compte pour donner suite ou non à une opportunité d’emploi. » indique CodinGame, une plateforme de recrutement de développeurs.
Selon un sondage réalisé auprès de ses 9000 membres dans 120 pays, ce sont 75 % des personnes interrogés qui placent la rémunération en têtes des critères choix pour « pour donner suite ou non à une opportunité d’emploi. ».
La plateforme sise à Montpellier estime que le niveau de salaire sur le marché français est une des causes de la pénurie de profils et des » départs des jeunes talents à l’étranger ». Et d’avancer des chiffres de salaire annuel moyen pour corroborer son analyse :
Le turn-over permanent des développeurs, regretté par tous les responsables RH, est confirmé. « La majorité des personnes interrogées déclare garder le même poste moins de trois ans. » annonce CodinGame. Pour quelles raisons ? la recherche d’un meilleur salaire (60.3%), la possibilité d’évolutions professionnelles plus intéressantes (49%) ou le besoin de changer d’environnement (39%).
Côte recrutement, on ne note pas de demande d’évolution. 82.7% apprécient le traditionnel entretien en tête-à-tête. 13.8% réfèrent un entretien informel (dans un café, par exemple) et seulement 1% évoquent un entretien sur Skype.
Les outils utilisés sont aussi ceux en vogue dans les autres métiers : le réseau social B2B LinkedIn est plébiscité (89.7%), devant l’e-mail (67.2%) et le téléphone (56.9%).
Méthodologie : sondage auprès de 9 000 utilisateurs dans 120 pays différents.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.