C’est tout du moins ce que laisse entendre l’interview de S. Somasegar à CNN. Evoquant les retards de Windows Server 2003, le vice-président de Microsoft a affirmé que le lancement »
a pris beaucoup plus de temps, car nous avons fait les bons choix en matière de sécurité et de fiabilité« . Sous entendu que les anciennes versions des systèmes d’exploitation de Microsoft ne répondaient pas aux règles de fiabilité que sont en droit d’attendre ses clients. En atteste la multiplication des annonces quasi quotidiennes de bugs, failles et patchs divers venant casser l’image de Microsoft. Si l’on tient compte des retards accumulés ces derniers mois, et des reculs des dates de sortie des prochains systèmes, on peut penser que Microsoft s’est enfin décidé à mettre fin aux multiples failles de sécurité qui polluent ses environnements. C’est sans doute aussi le résultat des dix semaines du programme « Thrustworthy Computing » mis en place en 2002, avec pour objectif de sensibiliser les employés de Microsoft à la qualité. Il reste que le nouveau jeu en vogue sur Microsoft consiste à parier sur la prochaine apparition d’un bug majeur sur Windows Server 2003.
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