Boston, États-Unis – eXo est une plate-forme open source Java qui permet de disposer de fonctionnalités de portail, de gestion de contenu et de collaboration.
L’entreprise s’est fait récemment connaitre plus largement du public grâce à l’accord qu’elle a signé avec Red Hat, qui utilise ces technologies au sein de ses propres produits. « Cette offre a été rapidement très rentable chez Red Hat », nous explique Benjamin Mestrallet, CEO d’eXo. « Les ventes en France et hors de France représentaient respectivement un pourcentage de 60 % et 40 %. Toutefois, celles réalisées par Red Hat devraient maintenant ramener ce rapport à 50/50. »
Récemment, l’éditeur a fourni un outil de développement pour Netvibes. « Divers éléments nous ont amenés à penser que certaines briques de notre offre pouvaient être indépendantes, chose qui a attiré des gens comme Netvibes. Toutefois, notre objectif reste de fournir une offre tout intégrée, et non pas des produits indépendants les uns des autres. »
eXo pourrait-il devenir un fournisseur de gadgets ? « Nous rassemblons déjà les plug-ins gratuits (applications et gadgets) sur notre site. Ces derniers peuvent fonctionner sur nos produits (desktop ou mobiles), mais aussi avec les autres plates-formes compatibles open social. Pour le moment, nous n’avons pas de plan visant à monétiser les gadgets, car cette activité ne pourrait exister qu’avec un mode de distribution directe. Dans l’intervalle, nous travaillons à l’extension de notre réseau de revendeurs et multiplions les signatures de contrats avec les intégrateurs. »
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.