Les fabricants de téléphones mobiles affirment le contraire, ou tout du moins cherchent à minimiser le risque, en affirmant que l’exposition des utilisateurs de téléphones Bluetooth est limitée à des temps réduits et à la proximité immédiate de l’utilisateur.
Mais des experts indépendants de la téléphonie mobile viennent une nouvelle fois de démontrer le contraire. A l’aide d’un logiciel expérimental nommé Bluesnart sur un ordinateur de bureau, ils ont pu capturer des données et écouter des conversations téléphoniques jusqu’à 2 kilomètres. Malgré le discours des industriels qui cherchent à minimiser le risque, les téléphones mobiles en technologies sans fil, ici Bluetooth, présentent de forts potentiels de failles de sécurités qui laissent craindre le pire dans l’avenir, et représentent un sérieux chantier sur lequel il faudra bien se pencher. A moins que ces failles ne soient volontaires afin de permettre à certains organismes d’états d’écouter impunément nos conversations !
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