Contrairement aux anglo-saxons, les Français ont du mal à confier leurs économies à des banques en ligne. Malgré le boom du e-commerce dans notre pays, les banques sur Internet restent à la traîne. Conséquence, de nombreux établissements ont disparu : Banque Directe, ZeBank ou ont été avalés par des concurrents.
Malgré cette concentration intensive du secteur, les banques restantes ne font pas recettes. Egg France, filiale de la première banque en ligne au Royaume-Uni, creuse encore un peu plus ses pertes. Mise sous surveillance Le groupe annonce une perte nette de 48,7 millions de livres, contre 5,5 millions au premier semestre 2002, et ses ventes ont été décevantes (115.000 clients en France). Du coup, ce sont tous les résultats du groupe qui sont pénalisés par la contre-performance française. Egg subit ainsi au premier semestre une perte de 36,5 millions de dollars contre un bénéfice d’un million un an plus tôt. « En France, comme déjà indiqué en avril, les volumes de ventes ont été inférieurs aux prévisions. Et nous continuons de surveiller attentivement la situation », déclare le groupe dans son communiqué de résultats. Une mise sous surveillance qui ne sent pas très bon…
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