Un méchant « pirate » qui vole les pauvres maisons de disques en pratiquant sans vergogne le partage de fichiers via les réseaux de peer-to-peer a été condamné à Toulouse. L’internaute a subi les foudres de la SCPP, la Société civile des producteurs de phonogrammes qui depuis plusieurs mois multiplie les procédures contre ce qui est considéré comme un fléau pour le chiffre d’affaires des Majors…
Le Tribunal de Grande Instance de Toulouse a condamné l’infâme voleur à deux mois de prison avec sursis (rien que ça) et 1.298 euros de dommages et intérêts. Comment diable les juges sont-ils parvenus à un chiffre aussi précis? Le Tribunal a en fait inauguré une nouvelle méthode de calcul qui risque de faire école: chaque morceau partagé sur le réseau est « facturé » 2 euros. On comprendra alors que l’internaute partageait 649 fichiers… De quoi anéantir l’Industrie musicale. En outre, le « pirate » devra payer 1.000 euros pour frais de justice. La SCPP s’est évidemment satisfaite de ce jugement « à caractère fortement dissuasif ». Malgré de très nombreuses critiques, la pénalisation des adeptes du P2P ne semble pas être sur le point de s’arrêter.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.