Difficile d’y échapper. Quand deux entreprises se rapprochent, l’emploi est le premier menacé, c’est un classique. Et le rachat de Neuf Cegetel par SFR n’échappe pas à cette règle.
Selonles Echos, la direction de l’opérateur a annoncé aux élus du personnel un plan de suppression de 450 emplois, soit 5% des effectifs du nouvel ensemble. Ce plan, confirmé par la suite par la direction de l’opérateur, se fera uniquement sur la base de départs volontaires.
Les premiers touchés seront les salariés qui travaillant sur le réseau. L’opérateur va, en effet, réorganiser cette activité en recentrant l’essentiel de ses effectifs sur Paris et Lyon. Des suppressions d’emplois sont également prévues dans les fonctions support (marketing, ressources humaines, communication…).
Selon des sources syndicales, le plan de suppressions d’emplois porterait en fait sur environ 800 postes mais serait en partie compensé par la création de quelque 350 emplois.
En avril dernier, des premières rumeurs de plan social avaient circulé : 2.000 suppressions d’emplois avaient été évoquées. A cette époque, le groupe avait vigoureusement démenti en expliquant qu’ « Aucun plan de licenciement n’est envisagé et aucun objectif de réduction d’effectif n’est fixé. Le dialogue social est permanent au sein de l’entreprise et se poursuivra conformément aux pratiques d’ouverture et de concertation en vigueur chez SFR ».
Et d’ajouter : le rachat de Neuf ne pose « aucun enjeu quantitatif pour le personnel, puisqu’il y aura très peu de doublons ».Visiblement, cette notion a quelque peu évolué depuis un mois.
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