Encore une fois Gmail, le service en ligne de messagerie électronique proposé par le géant Google, est resté indisponible dans la journée de jeudi 24 septembre, en milieu d’après-midi. Pendant une heure, le webmaila donc connu le même incident que celui survenu début septembre mais aussi en février et en mai dernier.
Si la panne a été reconnue par le géant Google, la firme ne l’explique pourtant pas. Dès 15 h 30 (heure française), Google a signalé une interruption de service de sa messagerie. Sur sa page de maintenance, la firme a expliqué que le problème ne concernait qu’un «petit nombre d’utilisateurs». Google pensait ainsi pouvoir colmater le problème en une petite heure. Peine perdue puisque si une heure après Gmail était à nouveau accessible, seuls certains utilisateurs ont eu accès à leur compte.
Ce n’est pourtant pas le première fois que Google connaît ce type d’ennuis puisqu’il s’agit de la deuxième panne en moins d’un mois pour Gmail après celle du 2 septembre dernier. Une mauvaise publicité pour un outil qui veut travailler sur son côté professionnel mais aussi des défaillances qui nuisent à la continuité de service de l’éditeur.
En cause, la technologie dite du Cloud Computing et du modèle SAAS (Software as a service) qui déportent l’applicatif des utilisteurs sur le web. Ces incident pointent, la fragilité du modèle des services en ligne qui peuvent rapidement ralentir, voire alourdir une activité professionnelle.
Toujours est-il que si courte fut-elle, la panne aura handicapé les internautes. Sauf, les possesseurs de téléphone Android qui ont apparemment pu échapper à la panne. Un signe ?
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