»
Nous sommes heureux de célébrer le premier anniversaire de Google Earth et de l’interface programmable (ou API) Google Maps avec de nouvelles technologies pour ces produits« , se réjouit John Hanke, directeur de Google Earth. L’occasion est belle de fêter le succès de la solution de ‘mapping’ géographique de Google: en un an, elle a enregistré 100 millions de téléchargements ! Elle aligne une liste de plus de 30.000 sites Web qui affichent leurs données géographiques à l’aide de l’API Google Maps. Google Earth exploite des photographies satellitaires de le Terre, qui s’affichent localement sur le poste de l’internaute. Ce dernier peut modifier ces images en les embellissant d’immeubles et structures 3D, développées par exemple gratuitement avec un outil comme Sketchup, acquis récemment par le moteur. Google Maps API (API, Application Programming Interface) permet de créer des ‘mashups‘, des données géographiques qui se superposent aux images Google Earth. Les nouvelles fonctionnalités de Google Earth et Maps sont destinées d’une part à faciliter l’accès et le travail sur ces applications. Mais surtout à apporter une approche plus professionnelle aux solutions de cartographies basées sur le moteur. Par exemple, Keyhole Markup Language (KML) permet d’apporter des informations géographiques et de données qui seront associées à Google Earth. Mais surtout, Google a annoncé une licence -payante- visant les professionnels qui utiliseront Google Maps sur leur site ou en intranet. Passée l’euphorie d’un produit original et fêté le premier anniversaire, il faut bien n’est-ce pas? rentrer un jour dans ses fonds?
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.